Le livre
Ce livre branche le lecteur vers diverses activités et synthétise les éléments importants à retenir à leur propos.
Site: | visaTICE |
Cours: | Produire et mettre en page un texte ★☆☆ |
Livre: | Le livre |
Imprimé par: | Compte professeur |
Date: | lundi 20 janvier 2025, 17:23 |
Intention généralecomprendre la structure d'un texte numérisé et connaitre les opérations élémentaires qu'on peut lui appliquer
Attention ! Ce module fait appel à certaines notions développées dans le module « Comprendre le traitement de l'information numérique ».
Les traitements effectués sur un texte, notamment sur son contenu, exigent que l'utilisateur ait une bonne représentation mentale de ce qu'est un texte.
Mais quelle est cette « bonne représentation mentale » ?
Voici une vidéo qui devrait vous mettre sur la voie…
Ce qui a fait l'incroyable succès des programmes de traitement de texte résulte de deux énormes facilités de traitement automatique que ceux-ci ont offertes dès le début de leur existence.
La première, c'est la gestion automatique des fins de ligne. Finis les retours chariot des anciennes machines à écrire, l'utilisateur tape son texte comme s'il écrivait une ligne de texte qui n'en finit pas.
L'autre facilité, c'est celle de pouvoir modifier un texte, c'est-à-dire d'en supprimer des parties ou d'en ajouter sans faire de ratures. Si on ajoute à cela le fait qu'un dispositif de pointage, comme la souris, permette de choisir l'endroit du texte où cette modification doit avoir lieu, la rédaction devient une activité qui offre au rédacteur le droit à l'erreur et à l'oubli.
Bien que les actions élémentaires que nous venons d'évoquer paraissent d'une grande simplicité, la complicité entre le système et l'utilisateur est d'autant plus grande que ce dernier possède une bonne représentation du texte, lui permettant de comprendre les réactions les plus élémentaires de ce système.
Dans ce chapitre, nous nous intéresserons donc aux actions élémentaires de l'édition du contenu d'un texte et nous nous assurerons que vous les maîtrisez parfaitement.
Observez l'illustration ci-dessous.
Où va se positionner le point d'insertion si vous cliquez à chacun des endroits numérotés ? Notez-le dans le cahier avant de le faire réellement dans l'exercice qui suit.
Téléchargez le fichier de l'activité et cliquez aux différents endroits pour vérifier vos réponses.
Y a-t-il des choses qui vous surprennent ?
Comprenez-vous ce qui se passe ? Quelles explications pouvez-vous donner ?
Vous n'avez aucune idée ? Pas de souci, la suite du chapitre va vous apporter des réponses.
Pour expliquer le comportement inattendu du point d'insertion, répondons à la question :
Qu'est-ce qu'un texte pour un système informatique ?
Pour un système informatique, le texte est une (très) longue suite de caractères.
Au départ, le texte est de longueur nulle. Il n'y a qu'un seul endroit où le premier caractère puisse être inséré. Ensuite, les caractères frappés au clavier vont s'ajouter, les uns après les autres, et former une suite (de caractères). Chaque nouveau caractère ajouté s'insère donc à la fin de la suite précédemment formée.
Dans l'univers du traitement de texte, on dit que la frappe est kilométrique. Késako ?
Tout simplement, vous pouvez insérer des caractères (frapper du texte) à l'infini (ou presque ), sans intervenir pour marquer les fins de lignes. Le programme gère lui-même la disposition du texte.
Frapper du texte, c'est bien mais très vite vous allez éprouver le besoin d'effectuer un certain nombre de corrections. Les modifications consisteront donc à rétrécir ou à rallonger le texte (la suite de caractères) à n'importe quel endroit de celui-ci.
Pour dire les choses simplement, les seules manières élémentaires de modifier le contenu d'un texte sont :
Bien entendu, vous souhaiterez souvent ajouter ou supprimer plusieurs caractères à la fois. Il arrivera même que vous souhaitiez remplacer (supprimer puis ajouter) des caractères par d'autres caractères en une seule manipulation.
Pour effectuer ces modifications (ailleurs qu'en fin de texte), vous devez préciser au programme à quel endroit elles ont lieu. Un concept rend cette action assez simple : le point d'insertion.
Le point d'insertion a généralement la forme d'une petite barre clignotante.
Les quelques activités qui suivent vont vous aider à aller plus loin dans les différents principes et concepts abordés ci-dessus. C'est parti !
Êtes-vous capable de lire un texte dépourvu de voyelles ?
Donnez du sens aux phrases en insérant les bonnes voyelles aux bons endroits.
Objectif : appliquer la technique d'insertion d'un caractère et les techniques élémentaires de déplacement du point d'insertion
Commencer l'activitéLes égalités arithmétiques que nous vous proposons sont volontairement fausses… À vous de faire en sorte qu'elles deviennent vraies en supprimant l'opérateur et/ou le chiffre superflu.
Objectif : appliquer la technique de suppression du caractère précédent ou du caractère suivant le point d’insertion et les techniques élémentaires de déplacement du point d'insertion
Commencer l'activitéAvez-vous déjà essayé de lire un texte dans lequel les mots sont collés bout à bout ? D'après les scientifiques, notre cerveau est tout à fait capable d'identifier chaque mot, de les isoler les uns des autres et de comprendre ainsi le sens du texte. Peut-être. Mais ce serait tout de même plus simple si vous insériez des espaces entre les mots…
Objectif : comprendre les concepts de mot et de caractère non imprimable
Commencer l'activitéDes suites de nombres ont été écrites en continu sur une seule ligne (à l'horizontale ). Difficile, dans ces conditions, de comprendre leur logique…
Utilisez nos indices (et surtout vos méninges) pour redécouper ces suites, en isoler chaque nombre (à la verticale ) et, « last but not least », en retrouver le dernier membre.
Objectif : comprendre les concepts de paragraphe, de retour à la ligne forcé et de retour à la ligne automatique
Commencer l'activitéVoici un texte curieusement mis en page. Son auteur a utilisé les caractères non imprimables que sont l'espace et la marque de fin de paragraphe… Pensez-vous que ce soit là une technique efficace et pourquoi ?
Objectif : repérer (et corriger) les utilisations abusives et erronées des caractères non imprimables
Commencer l'activitéLe texte est une suite ininterrompue de caractères. L'affichage à l'écran des caractères du texte et, par conséquent, les passages à la ligne sont gérés automatiquement.
Il est important de distinguer les rôles respectifs et tout à fait différents du pointeur et du point d'insertion.
Le pointeur peut être déplacé au moyen du dispositif de pointage : souris, pavé tactile… Un clic permet de positionner le point d'insertion.
Les deux actions de base de l'édition d'un texte sont l'insertion et la suppression d'un caractère. Toutes deux demandent un positionnement correct du point d'insertion.
L'espace, l'espace insécable, le saut de ligne forcé et la marque de fin de paragraphe sont des caractères non imprimables.
Vous pouvez obtenir le corrigé des exercices auprès de votre coach.
Un « Plat pays» sans queue ni tête
Êtes-vous capable d'appliquer les nouvelles règles d'orthographe ? Nous vous mettons à l'épreuve de « corriger » ce texte selon ces règles en vigueur depuis le 16 mars 2009. Bon courage !
Les nouvelles règles sont un mystère pour vous ? En guise de consignes pour cet exercice, consultez :
Règles orthographiques
Voici, en quelques lignes, un petit aperçu (non exhaustif) des règles de base constituant la nouvelle orthographe.
Attention, nous nous contentons de vous donner ici des pistes pour résoudre l'exercice. Pour prendre connaissance de ces règles et de leurs exceptions, nous vous invitons à consulter notre rubrique « À lire ».
Pour résoudre ces énigmes mathématiques, vous ne disposez que des quatres opérateurs +, -, : et *. Êtes-vous un authentique « amatheur » ou un simple amateur ?
Servez-vous de la priorité des opérations !
Imaginez qu'un chanteur soit contraint de chanter sans jamais reprendre son souffle… Épuisant ! Pourtant, c'est ce qui risque d'arriver si vous ne séquencez pas cette chanson.
Pour son cours d'art dramatique, Philippe doit apprendre le premier acte du « Bourgeois gentilhomme », célèbre pièce de Jean-Baptiste Poquelin (mieux connu sous le nom de Molière).
Le jeune garçon est perturbé par l'apparence du document sur lequel il est sensé étudier. Cette dernière est due à la présence (mais aussi à l'absence) de caractères non imprimables qu'il suffirait de supprimer (ou d'ajouter lorsque cela est nécessaire).
Pourriez-vous aider Philippe à « arranger » son texte ?
Pour en savoir un peu plus sur ce qu'est un abjad et sur les principaux alphabets considérés comme tels. Avis aux curieux !
La Fédération Wallonie-Bruxelles vous invite à partir à la découverte de la nouvelle orthographe. Un voyage qui vaut le détour, notamment pour le logiciel Recto capable d'appliquer automatiquement les nouvelles règles orthographiques sur n'importe quel texte. À vous de le mettre au défi !
Parce qu'il nous arrive fréquemment de nous arracher les cheveux lorsqu'il s'agit de savoir, entre autres, si oui ou non il faut une espace avant « : », nous vous proposons une petite révision des règles d'emploi de la ponctuation. Pour les passionnés de la langue française… et les autres.
Curieux de voir les sépultures de Jean de La Fontaine, Édith Piaf, Marcel Proust et autres… Visitez virtuellement le cimetière du Père-Lachaise. N'oubliez pas le guide !
Dans visaTICE, nous avons fait le choix de suivre des règles typographiques se prêtant au mieux à une lecture agréable sur le Net. Mais si on y regarde de plus près, il existe des différences entre les règles typographiques françaises et belges. Ainsi, en France, la norme en vigueur veut qu'on mette une espace avant « : », alors qu'il n'en faut pas en Belgique. Pourquoi cette espace a-t-elle été supprimée ?
On raconte que la commission chargée de l'actualisation de la norme de présentation des travaux dactylographiés a modifié les règles d'espacement pour toute la Belgique uniquement parce que bon nombre de secrétaires et de professeurs ignoraient l'existence de l'espace insécable. En agissant de la sorte, elle aurait voulu empêcher que les « : » se retrouvent en début de ligne.
La honte si c'était vrai !
Que pensez-vous de cette explication ? Renseignez-vous auprès de votre professeur de bureautique ou de dactylographie qui en sait peut-être un peu plus.
Intention généraleconnaître les entités remarquables d'un texte et utiliser les techniques les plus simples pour les sélectionner
Dans un texte, il est possible de définir différents types d'entités en fonction des traitements qu'on veut faire appliquer.
Cette vidéo devrait vous en dire plus.
Lorsqu'on souhaite modifier un texte de manière plus fondamentale, on est amené à supprimer des phrases, à déplacer des paragraphes, à remplacer des parties de texte par d'autres. On ne travaille donc plus caractère par caractère mais on sélectionne des blocs de caractères auxquels des manipulations vont être appliquées.
Si chacun sait comment utiliser la souris ou le pavé tactile pour sélectionner un bloc de caractères consécutifs, beaucoup ignorent que le système peut les aider à le faire plus vite, ou encore, qu'il est possible de sélectionner plusieurs blocs avant de leur appliquer un traitement.
Dans ce chapitre, vous apprendrez à travailler plus efficacement lorsque vous devrez effectuer des modifications sur un texte.
La séquence vidéo ci-dessous illustre la sélection rapide.
Comprennez-vous ce qui se passe ? Quelles explications donneriez-vous ?
Si vous ne comprenez pas, n'ayez crainte, les explications qui suivent vont vous permettre d'éclaircir tous ces mystères.
Des blocs de textes (re)connus
Si vous avez eu l'occasion de parcourir le chapitre 3 du module sur le Traitement de l'Information Numérique, vous avez été mis au défi d'effectuer une série de traitements tels que compter le nombre de mots dans une phrase ou encore identifier un paragraphe dans un texte entièrement écrit en polonais.
Il n'est pas nécessaire de comprendre le sens du texte pour réaliser ces traitements. Ceux-ci s'occupent uniquement de la forme de l'information.
Ces traitements sont des traitements formels.
Un logiciel de traitement de texte fonctionne également de manière formelle et, tout comme vous, il n'a pas besoin de comprendre un texte pour en reconnaître les blocs fondamentaux…
Quels sont les blocs de caractères formellement reconnaissables par un logiciel de traitement de texte ?
S'il existe des variantes d'un logiciel à l'autre, il y a des blocs particuliers qu'un utilisateur ne peut de toute manière ignorer :
Des séparateurs à (re)connaître
Pour permettre un traitement formel, il est impératif que chacun de ces blocs soit distingué des autres par un séparateur (ou délimiteur) : un mot d'un autre, un paragraphe d'un autre…
En effet, c'est parce qu'un bloc de caractères est limité d'une manière ou d'une autre que le logiciel le reconnaît.
Ceci explique qu'il soit possible de trouver des commandes qui facilitent certains déplacements du point d'insertion (par exemple, quand ils sont longs ou répétitifs) et certaines sélections de blocs de caractères (par exemple quand les blocs dépassent la taille d'un écran). La sélection est indispensable pour la mise en forme d'un document, mais elle l'est aussi pour la modification de son contenu à savoir : la suppression, le déplacement, voire la copie de texte.
Si vous voulez en savoir plus sur les différents principes et concepts abordés ci-dessus, rendez-vous aux activités de la page suivante !
Il n'est pas toujours possible de localiser les mots dans toutes les langues. Ainsi, si cela reste faisable pour le polonais, il en est autrement pour le chinois…
Pourquoi ? Tout simplement parce que l'écriture chinoise n'utilise pas d'espace comme séparateur de mots.
Difficile de trouver les mots quand il n'y a pas d'espace… Surtout qu'un symbole n'est pas toujours équivalent à un mot, comme le montre la traduction de « désormais ».
Mais, plutôt que de s'intéresser au chinois, si nous nous penchions sur des langages plus « proches » de nous.
Objectif :identifier les blocs de caractères et leurs séparateurs
Ne pas trouver les motsVotre cousine Bécassine souhaite déposer une annonce sur un site de ventes aux enchères. Les tarifs de publication s'élèvent à 10 cents par mot. Bécassine dispose d'un minuscule budget de 1,40 €, mais son texte est beaucoup trop long… La note risque d'être salée !
Objectif :appliquer les techniques de sélection et de suppression de blocs de caractères
Petite annonce deviendra grande (ou le contraire)Vous pensez comprendre le langage SMS… Seriez-vous capable de retrouver le texte français d'origine ? Testez-vous !
Dans cette illustre fable transcrite en langage SMS, remplacez chacun des mots par son correspondant en français correct.
Objectif : appliquer la technique de remplacement de caractères
Commencer l'activitéCéline est fan de Clouseau, un groupe pop belge des années '90. Malheureusement, Céline est francophone et ne connait pas le néerlandais… Elle est donc contrainte de traduire les paroles des chansons afin d'en apprécier le sens. Il existe bien des traducteurs en ligne mais le résultat n'est pas convaincant. Jugez plutôt !
Objectif :appliquer les techniques de sélection et de déplacement de blocs de caractères
Ik spreek wel NederlandsTOC TOC TOC. « Qui est là ? » - « C'est le loup » - Oui, mais lequel ?
Que se passerait-il si le loup du « Chaperon Rouge » et le loup des « Trois petits cochons » se trouvaient dans un même conte ? Se disputeraient-ils la galette ou s'allieraient-ils pour enfin parvenir à « souffler » la maison de briques ?
Objectif :appliquer les techniques de sélection et de déplacement de blocs de caractères
Il était une fois... un chaperon rouge et trois petits cochonsPensez-vous qu'il soit possible d'écrire une phrase, ayant du sens, qui comporterait toutes les lettres de l'alphabet ? Si vous en doutez, vous allez avoir l'occasion de le vérifier…
Objectif :appliquer la recherche de caractères
L'alphabet au completQuel est le point commun entre un homme, un pyjama, un tiroir et une armoire ?
Vous n'en voyez pas… Nous non plus, si ce n'est que ces quatre termes sont les héros d'une « histoire à dormir debout ».
Ne fermez surtout pas les yeux, vous allez avoir besoin de toute votre attention !
Objectif :appliquer le remplacement automatique
Une histoire à dormir deboutLe mot, le paragraphe, la ligne, le document… sont des blocs de caractères que le programme de traitement de texte peut identifier.
La sélection d'un bloc nécessite la connaissance du caractère de début et du caractère de fin du bloc. C'est à l'utilisateur de les préciser mais dans de nombreux cas, le programme est capable de les détecter de manière automatique grâce aux séparateurs (espace, marque de fin de paragraphe…).
Une manière de sélectionner un bloc de caractères est de demander au système de le retrouver dans le document. C'est le rôle important de la fonctionnalité de recherche qui peut être activée plusieurs fois si le bloc de caractères est présent plusieurs fois dans le document.
La fonctionnalité de recherche peut être avantageusement associée à la fonctionnalité de remplacement.
La recherche, comme le remplacement, fonctionnent autant avec des caractères imprimables que non imprimables.
Pour chaque exercice, réfléchissez bien à la démarche la plus efficace, à savoir celle qui exploite le plus les capacités du logiciel.
Vous pouvez obtenir le corrigé des exercices auprès de votre coach.
Sonnez, trompettes ! Trompez, sonnettes !
Dans le document à télécharger ci-dessous, vous trouverez l'horoscope des béliers et des taureaux pour l'année 2012.
Vérifiez vos réponses en faisant usage de la fonctionnalité statistique de votre logiciel.
Non, la ponctuation d'un texte ne sert pas seulement à le rythmer - et donc, à faire respirer le lecteur. Non, les smileys ne sont pas l'unique façon de transmettre ses émotions grâce à la ponctuation. Oui, la ponctuation est au texte ce que l'intensité, le timbre et la hauteur sont à la voix. Et oui, un texte peut être ambigu s'il n'est pas ponctué… Serez-vous capable de ponctuer correctement ces textes ?
Attention, le but ici n'est pas de rendre les textes amusants , mais plutôt de les rendre sérieux et cohérents.
Attention ! Petit défi ! Pour passer d'une correction à une autre : souris interdite ! Et pour corser encore le défi, l'usage des flèches de déplacement gauche et droite n'est autorisé qu'au sein d'un mot et celui des flèches de déplacement haut et bas, qu'au sein d'un même paragraphe.
Il existe une théorie selon laquelle il est possible de lire un texte dont les lettres constituant chacun des mots ont été mélangées, exceptées la première et dernière lettres qui, elles, sont restées à leur place… Cette théorie est un hoax. Mais, nous ne sommes pas là pour en discuter ! Serez-vous capable de remettre de l'ordre dans ce texte ?
Il suffit parfois de permuter certains caractères, syllabes ou phonèmes dans une phrase pour en obtenir une nouvelle. C'est ce qu'on appelle une contrepèterie, une phrase d'apparence anodine qu'un lapsus convenablement choisi peut rendre agréablement déplacée. Et vous, êtes-vous du genre à laisser la signification cachée d'une sentence vous échapper ?
Attention, une contrepèterie est en principe une erreur de langue et non une erreur de plume : elle est donc faite pour être prononcée…
Pour pouvoir résoudre l'énigme, il vous faudra d'abord remettre de l'ordre dans chacun des vers… La solution devient alors évidente. Mais si, ac(c)ro(sti)chez-vous !
Voici un bref historique qui retrace l'évolution des consoles de jeux vidéo de 1972 à nos jours. Malheureusement, si l'auteur a respecté la consigne « un paragraphe = une idée », il n'a pas respecté la chronologie des événements. Pensez-vous être capable de réorganiser le texte selon ce critère ?
Pour rendre ce texte illisible, un espion a remplacé chaque voyelle (a, e, i, o, u) par les deux lettres qui la suivent dans l'alphabet. Pourrez-vous reconstituer le texte en moins de trois minutes ?
Avertissement
Conservez le fichier obtenu après cet exercice. Celui-ci sera réutilisé aux
chapitre 5.
Par précaution, renommez ce fichier afin d'éviter tout problème d'écrasement lorsque vous recommencerez les exercices.
La personne qui a rédigé le menu du restaurant « Karibou » (à télécharger ci-dessous) a utilisé les marques de fin de paragraphe à mauvais escient. En effet, entre chaque ligne du menu, il y a un paragraphe vide. Pour vous en convaincre, faites-les apparaître à l'écran.
Supprimez-les en un minimum d'opérations afin d’obtenir le résultat suivant :
Quelle stratégie utiliser pour réaliser le nettoyage du texte qui suit ? Par nettoyage, il faut comprendre la suppression des espaces et marques de fin de paragraphe inutiles…
Le langage SMS vous intringue ? Inspirez-vous du travail de l'écrivain Phil Marso, découvrez des traductions originales et, surtout, frimez avec votre prénom « SMSisé » .
En voici un peu plus sur l'hyperbate. Vous y trouverez définition, historique, exemples et références. De quoi devenir un « crac » de la langue de Yoda !
Avec un caractère moins sérieux, découvrez l'humour intergalactique de ce jeune auteur qui s'est « autobaptisé » Yod@. À ne pas mettre entre toutes les mains !
Envie de vous essayer à d'autres contrepèteries ? Testez votre compréhension, mais surtout votre imagination… Pour un public averti !
On raconte qu'Alfred de Musset a envoyé à Georges Sand un acrostiche pour le moins explicite… Si c'est réellement le cas, il n'était (et n'est) pas le seul à jouer avec la langue française !
Au cas où vous ne l'auriez pas encore remarqué , on vous propose à chaque activité/exercice de télécharger les documents sous trois formats : .doc et .odt, formats bien connus de logiciels de traitement de texte, mais aussi en .txt, format de fichier texte brut. C'était la dernière fois, dans ce module de formation, que l'on vous suggérait le format .txt puisque nous avons atteint ici ses limites… Espérons que vous en avez profité !
Intention généraleconnaitre les attributs de mise en forme des caractères et pouvoir les modifier
Si les programmes de traitement de texte se chargent de gérer les passages à la ligne, ils tiennent également compte de toute une série d'attributs de mise en forme qui sont fixés par défaut de précision de la part de l'utilisateur. Celui-ci peut cependant décider qu'il en va autrement.
Avant d'aller plus loin, visionnez la vidéo ci-dessous.
Tout comme il est possible de modifier le contenu d'un texte, il est également possible de modifier sa mise en forme par défaut : police de caractère, espacement entre les paragraphes, taille des caractères, interligne, graisse des caractères… On dira que l'on agit sur le style du texte ou de certaines de ses parties.
Nous verrons qu'il existe deux grandes catégories de styles dépendant des entités auxquelles ils s'appliquent. Comme nous l'avons fait pour le contenu, nous allons d'abord agir par petites retouches avant d'envisager de faire les choses de façon beaucoup plus organisée et beaucoup plus efficace dans les chapitres qui suivront.
Si vous utilisez régulièrement un logiciel de bureautique (traitement de texte, tableur, présentation assistée par ordinateur…), le mot police ne doit pas vous être inconnu.
Mais que désigne ce concept parfois un peu flou ?
Il suffit d'ouvrir quelques vieux manuscrits datant de plusieurs siècles ou quelques livres datant des débuts de l'imprimerie pour se rendre compte que chaque caractère utilisé par l'Homme pour communiquer avec ses semblables est un graphisme et donc, un véritable dessin à lui seul. Chacun individu possède sa propre écriture (avec ses qualités et ses défauts).
C'est seulement au XVe siècle que l'imprimerie fût inventée. Les premières techniques qui ont persisté pas mal de temps font état de l'usage de caractères en plomb qui devaient être fondus. Ce procédé a conduit ceux qui les ont fabriqués à donner à ces caractères, qui devaient être réutilisés de nombreuses fois, un « air de famille » qui garantisse l'harmonie visuelle des documents produits. Ces airs de famille ont trouvé des noms dont l'origine est à chercher dans l'histoire de la typographie.
Voici quelques-uns de ces noms de famille que vous pourriez éventuellement retrouver dans la liste des « polices » de votre logiciel de traitement de texte : Baskerville, Bodoni, Caslon, Cochin, Garamond. Savez-vous à quoi ils correspondent ? Faites une rapide recherche sur le Web pour le savoir.
Il s'agit de noms d'imprimeurs et de typographes célèbres.
En 1532, Claude Garamont (1480-1560), célèbre typographe français, fondait une série de caractères parmi les plus mythiques de la typographie.
Il n'est donc pas rare de trouver dans la liste, une police dont le nom est Garamond et dont les caractères ont cette forme spécifique qu'avait donné Garamont à ses caractères en plomb.
Dupond ou Dupont ? Garamond ou Garamont ?
En fait, Garamont se faisait appeler Garamondus d'où le nom Garamond donné à sa création.
En voici d'autres que vous pourriez trouver et pour lesquels la réponse est plus directe: Swiss, Dutch, German, Britannic, Geneva. La référence est ici clairement à des pays, des villes ou des langues parlées. Mais ce n'est pas tout.
En 1931, le journal londonien « The Times » priait Stanley Morison de créer un caractère typographique mieux adapté aux contraintes de la presse. L’année suivante sortait le Times qui permettait d'imprimer un texte dense avec une économie d'espace, tout en offrant une bonne lisibilité.
De nos jours, cette forme de caractère reste l’un des grands classiques pour ce qui est des documents destinés à être imprimés.
Plus récent, le Comic (sans MS) a été créé en 1994, par le designer Vincent Connare. Imaginé au départ pour le logiciel Microsoft Bob, il ne fut pas achevé à temps mais devint très vite une forme de caractère de base des logiciels de traitement de texte. Comic a été, et est encore aujourd'hui, le sujet de campagnes lancées par des graphistes afin de l'éliminer ou d'en diminuer l'usage.
On le voit, les polices ont des origines plutôt étalées dans le temps. Certaines sont d'une conception très récente alors que d'autres ont une origine beaucoup plus ancienne. Si l'origine n'est pas essentielle, elle aide à identifier pour quels besoins elles ont été conçues. Par exemple, l'usage intensif des ordinateurs a amené à concevoir des polices plus adaptées aux écrans. Elles sont généralement plus larges et sans fioritures. Nous y reviendrons.
Connaissez-vous des polices de ce type, utilisées par la plupart des sites Web ?
Les polices Verdana et Georgia sont parmi les plus fréquemment utilisées.
La première vous est bien connue car c'est celle du corps de texte dans l'interface VisaTICE.
À propos, Arial, Arial black, Arial Narrow : polices différentes ou identiques ?
Nous admettrons qu'il s'agit de polices différentes, même si certaines caractéristiques de formes sont identiques.
Mais le nom de la police est insuffisant pour décrire tous les attributs d'un caractère. Ceux-ci sont regroupés dans ce que l'on appelle la fonte, un concept souvent confondu avec celui de police. Qu'est-ce donc qu'une fonte ? C'est ce sur quoi vont porter nos réflexions.
Au temps de l'utilisation des caractères en plomb, on appelait fonte la représentation d'un alphabet ayant une forme donnée, un corps donné, une graisse donnée et un style donné.
Par exemple, Helvetica Oblique 18pts est une fonte de caractères (font, en anglais).
Une fonte est donc un ensemble de caractères (alphabet étendu) qui ont les mêmes caractéristiques suivantes :
Une police de caractères, aussi appelée police d'écriture, rassemble l'ensemble des fontes d'une même famille. Helvetica est une police de caractères.
C'est le nom de la police (Arial, Times New Roman, Verdana…)
Le nom de famille est lié à une conception particulière de la forme des caractères (lettres de l'alphabet, signes typographiques, symboles divers) qui est généralement l'œuvre d'un artiste.
Le nombre considérable de formes ayant été définies nous oblige à essayer de les organiser. Des classifications existent. Une activité y est spécifiquement consacrée.
Le corps du caractère, c'est-à-dire la hauteur de celui-ci, se mesure généralement en points. Cette unité est restée très proche du point typographique « Didot » créé par François-Ambroise Didot en 1775.
Un point (informatique) vaut 0,352777mm soit 1/72ème de pouce.
Pourquoi cette précision bizarre ?
Si vous l'ignorez, rendez-vous dans le chapitre 2 du module sur le traitement de l'image (activité « Prendre une bonne résolution »).
Ce paramètre est lié à l'épaisseur du trait. Les niveaux les plus courants sont maigre (light), demi-gras (medium, semi-bold) et gras (bold).
Le choix du nom de la fonte comprend parfois de manière implicite le choix d'une graisse.
Au niveau logiciel, le choix d'une graisse plus importante peut également se faire à travers le choix d'un style comme décrit ci-dessous.
Le mot « style » peut désigner plusieurs choses en traitement de texte.
En ce qui concerne la forme des caractères, il s'agit souvent des paramètres suivants : normal, gras, italique, gras et italique. Les autres effets portent des appellations différentes : attributs (ombré, barré, contour, relief…), soulignement, couleur… Il n'y a pas vraiment d'uniformisation à ce sujet.
Le mot « style » est également utilisé lorsqu'on souhaite enregistrer un certain nombre de paramètres de mise en forme en vue d'automatiser les traitements. Nous en reparlerons au chapitre 5 de ce module.
Les activités qui suivent vont être consacrées à une partie importante de la mise en page d'un texte : la mise en forme des caractères.
Dans le chapitre suivant, nous parlerons de mise en forme des paragraphes. Les paragraphes sont, en effet, des unités de texte qui peuvent avoir leur propre mise en page.
La sophistication croissante des imprimantes a encouragé les graphistes à créer des centaines de nouvelles polices. Cet exercice vous en fait découvrir quelques-unes qui sont d'usage courant. Vous allez même apprendre à les reconnaître.
Objectif :appliquer une police de caractères à un bloc ; caractériser une police selon quatre critères ; identifier des règles de bonne pratique en matière de mise en forme des caractères d'un texte
Polices ! Carte d'identité !Jadis appelées jeux de fontes, les polices de caractères étaient autrefois moulées, fondues dans le plomb et utilisées par les imprimeurs. Qu'en est-il maintenant ?
Objectif :comprendre et différencier les concepts de police et de fonte ; identifier les caractéristiques des polices de caractères
Mais que font(e) les polices ?Comment augmenter la taille des caractères ? Comment la diminuer ? Comment leur en faire voir de toutes les couleurs ?
Vous trouverez ici de quoi mettre vos caractères sens dessus dessous…
Attention les yeux !
Objectif :modifier des attributs de mise en forme des caractères : la taille, la couleur, etc. ; mettre en œuvre des règles de bonne pratique dans le choix des attributs
Tests de vueIl existe différentes façons de donner du « mouvement », du « relief » à un texte : mettre en gras, mettre en italique, souligner, changer la position, la casse… Mais attention, comme dans tout, l'excès nuit !
Objectif :appliquer des attributs de mise en forme aux caractères : le style, la position, la casse ; mettre en œuvre des règles de bonne pratique dans le choix des attributs
jeux de mots, jeux de style « O »Une police de caractères, au sens d'un système informatique, désigne l'ensemble des caractères d'un alphabet liés par un graphisme particulier et commun, sans considération sur la taille de ces caractères.
Une fonte regroupe les caractères d'une même police, dans une même graisse, un même style et un même corps.
Les polices de caractères peuvent être qualifiées à des fins de classification. On parle de polices avec ou sans empattements, de polices cursives, proportionnelles (ou non) et/ou fantaisies.
Les règles de bonne pratique concernent le choix de fontes lisibles, adaptées au type de document, mais concernent aussi la manière de sélectionner les blocs de caractères.
Vous pouvez obtenir le corrigé des exercices auprès de votre coach.
Après l'effort, le réconfort !
Après une dure session d'examens, Philippe a besoin de décompresser. Il profite de l'absence de ses parents pour organiser une petite fête.
Voici l'invitation qu'il souhaiterait faire parvenir à ses copains. À vous de la mettre en forme en respectant les consignes décrites ci-dessous :
D'un point de vue typographique, les équations chimiques ne sont qu'une succession de chiffres, de lettres et d'opérateurs (mathématiques) possédant des positions (indice ou exposant) et des casses (majuscule ou minuscule) très spécifiques. Serez-vous capable de retrouver l'écriture scientifique de ces équations ? À noter que l’état (solide, aqueux…) doit apparaître en indice et en italique.
Dans la fable de La Fontaine « Le Loup et l'Agneau »,
Attention à l'ordre de vos actions et, surtout, pensez à être le plus efficace possible (sélection automatique, semi-automatique et multiple, raccourcis-clavier, etc.).
Les amoureux de la typographie pourront décourvir ici le portrait de quelques-uns des caractères typographiques parmi les plus connus.
Envie d'identifier une police de caractères qui vous plaît ? Besoin de remplacer une police par une autre similaire ? Envie d'utiliser une police originale, proposant des symboles très particuliers (signes du zodiaque, animaux sauvages, etc.) ?
Rendez-vous sur ce site. Vous ne serez pas déçus du voyage.
Selon cet article de la désencyclopédie (si, si, ça existe ), les caractères Wingdings seraient utilisés pour de la propagande chrétienne extrémiste. Cette légende urbaine circule depuis quelques années. Chacun y voit ce qu'il veut…
Enfin, un petit clin d'oeil aux anti-Comic Sans MS. Sans rancune !
Intention généraleconnaître les attributs de mise en forme des paragraphes et pouvoir les modifier
La mise en forme des paragraphes est un élément essentiel dans la disposition des textes. Il importe donc de connaître les paramètres sur lesquels il est possible d'agir. Voyez plutôt la vidéo ci-dessous.
Une lettre de convocation, un CV, une lettre de candidature… Autant de documents dont la rédaction requiert, dans la forme, un certain nombre de précautions et, parfois, le respect de certaines règles.
Choisir de manière pertinente les attributs de paragraphe permet de répondre à un maximum d'attentes liées à l'usage des modèles de disposition.
Les activités de ce chapitre vont vous vous permettre d'établir le lien entre les fonctionnalités d'un logiciel et les exigences en matière de rédaction d'un document lorsque celui-ci est attendu ou n'est acceptable que dans un format particulier.
La mise en forme des caractères c'est, en quelque sorte, le costume que le texte enfile, son habillage, sa mise en valeur graphique.
Dans ce chapitre, nous nous intéresserons plutôt à son maintien, à la manière dont il se présente globalement. Pour cela, nous allons discuter de l'autre entité essentielle des textes numériques, le paragraphe.
Vous savez déjà comment créer des paragraphes; il s'agit maintenant de découvrir comment les mettre en forme et donc, sur quels paramètres jouer.
En dernière année, les élèves effectuent un stage d'une semaine en milieu professionnel. Ils doivent pour cela faire une demande de stage auprès d'une entreprise ou société.
Les jumeaux, Oscar et Erlen, ont rédigé ensemble leur lettre, mais pour ce qui est de la disposition du texte, ils n'ont pas utilisé les mêmes techniques.
Voici leurs textes. Pour que vous compreniez comment ils ont procédé, nous avons fait afficher les caractères non imprimables.
Lettre d'Erlen : version 1.
Lettre d'Oscar : version 1.
Suite à une remarque de leur professeur, Oscar et Erlen changent la police et diminuent un peu l'espacement entre les paragraphes du corps de texte. Voici les résultats. Observez-les attentivement.
Lettre d'Erlen version 2.
Lettre d'Oscar : version 2.
Comprenez-vous tout ce qui s'est passé ?
Les activités qui suivent vont vous apprendre à éviter les désagréments qu'a connus Erlen.
La leçon à tirer, c'est qu'il est très risqué et certainement peu efficace d'utiliser les caractères non imprimables pour gérer la disposition du texte. C'est une façon de faire que vous devriez vous interdire.
Depuis le chapitre 1, vous avez compris qu'un texte rédigé grâce à un logiciel de traitement de texte est en réalité une très longue suite de caractères. La manière dont cette suite de caractères est mise en page dépend d'un certain nombre de paramètres que vous allez préciser au système.
Bref, ce n'est pas vous qui réalisez la mise en page, c'est le système sur base des informations que vous allez lui fournir.
Cette mise en page dépend de très nombreux paramètres. Nous allons en découvrir une partie. Toutefois, dans ce chapitre, nous n'irons pas au-delà de la mise en forme des paragraphes qui, à elle seule, permet déjà pas mal de choses.
Au-delà du caractère qui est l'entité de base d'un texte, l'autre entité importante est le paragraphe. D'un point de vue purement formel, un paragraphe est un ensemble de caractères situés entre deux marques de fin de paragraphe.
Dans la lettre de demande de stage, la mise en forme des caractères se résume au choix d'une fonte. Il n'y a pas d'autres effets particuliers. Cependant, si vous prenez l'option de faire usage des caractères non imprimables (espaces pour « décaler » du texte vers la droite), un simple changement de police peut vous conduire à la catastrophe.
La disposition des paragraphes, elle, nécessite de fixer plusieurs paramètres qui leur sont propres.
Examinons quelques attributs de paragraphe nécessaires à la réalisation de la lettre de demande de stage : l'alignement, les retraits, les espacements, l'interligne et les tabulations.
Dans notre lettre, la date et le nom de la société sont alignés sur la marge de droite, de même que le nom en bas de la lettre. Le corps de texte est aligné à la fois sur la marge de gauche et celle de droite, ce qui oblige le système à calculer la largeur des espaces entre les mots. En fait, quatre dispositions sont possibles pour les lignes d'un même paragraphe :
à gauche | à droite | total | au centre |
---|---|---|---|
![]() | ![]() | ![]() | ![]() |
Pour qualifier l'alignement à gauche, les typographes utilisent toujours l'expression « au fer à gauche » désignant jadis de quel côté les caractères étaient calés contre le fer. Ils disent aussi parfois « en drapeau à droite » pour exprimer le fait que du côté droit, on peut constater l'inégalité de la longueur des lignes.
La majorité des textes présents dans visaTICE sont alignés à gauche.
Plus rarement, l’alignement à droite cale toutes les lignes sur la droite de la page. Les typographes disent également « au fer à droite » ou « en drapeau à gauche ».
Pour écrire la date et l'adresse du correspondant en haut à droite de la page, comment faut-il procéder ?
Il suffit de sélectionner les blocs de texte ainsi constitués et de demander leur alignement à droite.
L'alignement total est appelé abusivement « alignement justifié » (il faudrait plutôt parler de justification totale) et désigne le fait que le système calcule la largeur des espaces pour obtenir un alignement à la fois à gauche et à droite. Dans certains cas, la taille d'une espace peut paraître démesurée.
Dans un alignement centré, les espaces gardent leur largeur normale et les caractères sont répartis à gauche et à droite du centre des marges.
Dans nos exemples de lettres, on peut observer (outre des alignements à gauche et à droite) une seule sorte de retrait : le retrait de première ligne. Il se mesure par rapport aux autres lignes du paragraphe.
Le retrait de première ligne marque la différence entre la position de la première ligne et celle des autres lignes. Il est positif si la première ligne débute plus à plus droite que les autres lignes.
Il est négatif si elle débute plus à gauche.
Un autre concept est important, c'est celui de retrait de paragraphe. Il se mesure par rapport aux marges. Les marges sont un concept que nous découvrirons dans le chapitre suivant, mais vous vous doutez que le programme leur donne une valeur par défaut.
Un retrait de paragraphe peut être appliqué à partir de la marge de gauche, mais aussi à partir de la marge de droite. Un retrait positif correspond à un rétrécissement de paragraphe.
Les retraits négatifs provoquent, en quelque sorte, une écriture dans les marges et à un étirement du paragraphe.
Le retraits peuvent être fixés en précisant les valeurs exactes du retrait à gauche et du retrait de première ligne. On note toutefois deux manières de considérer les choses selon les logiciels. Voici deux exemples. Dans le second, les logiciels marquent une différence.
1er cas
Ce cas ne pose pas problème.
Retrait gauche : -1 cm
Retrait de première ligne : 3 cm
2e cas
Dans ce cas, on observe deux façons différentes de considérer les choses selon le logiciel :
retrait gauche : -1 cm
retrait de première ligne : -3 cm
ou
retrait gauche : 2 cm
retrait de première ligne : -3 cm
Pour éviter les doutes, les retraits peuvent également être fixés de manière dynamique (au moyen de la souris). Là aussi, de légères différences sont observées comme on peut le constater ci-dessous.
Êtes-vous capable d'identifier les différents retraits (ou combinaison de retraits) présents dans ce texte ?
Vous pouvez imaginer les inconvénients d'un réglage des espacements entre paragraphes avec des paragraphes vides : difficulté d'obtenir exactement l'espacement souhaité, de gérer des espacements identiques dans tout un texte, etc. Il est évidemment possible de régler les espacements entre les paragraphes de manière très précise en utilisant diverses unités.
Vous connaissez déjà une des unités parmi les plus courantes. Quelle est-elle ?
Il s'agit du point informatique (une valeur très proche du point typographique ou point Didot).
Il est possible de régler à la fois l'espacement avant et après le paragraphe. Mais il faut bien se rendre compte que des espacements avant et après pour des paragraphes consécutifs vont s'additionner en créant parfois des effets indésirables.
Comme son nom l'indique, l'interligne concerne l'espacement entre les lignes d'un paragraphe. L'interligne simple est calculé sur la taille des caractères les plus grands de la ligne. Il est possible de définir un interligne multiple de celui-là, mais aussi un interligne fixe, indépendant de la taille des caractères.
Comment expliquer la bizarrerie ci-dessous (entre les lignes 3 et 4) ?
On a donné à l'interligne de ce paragraphe une valeur exacte non dépendante de la taille des caractères.
La définition du paragraphe est importante car elle permet de se rendre compte qu'un retour à la ligne forcé ne termine pas un paragraphe. Un paragraphe peut donc contenir plusieurs retours à la ligne forcés, comme vous pouvez l'observer dans l'illustration ci-contre.
Dans cet exemple, pour réaliser l'énumération des villes, il est nécessaire de provoquer des retours à la ligne. Mais le faire en insérant des marques de fin de paragraphe aurait comme effet de générer de nouvelles puces, ce qui n'est pas souhaitable.
Si vous voulez modifier un ou plusieurs des attributs d'un seul paragraphe, il n'est absolument pas nécessaire de le sélectionner préalablement. Il suffit que le point d'insertion se situe à l'intérieur de ce paragraphe. Le système sait qu'il s'agit d'un attribut de paragraphe et est donc parfaitement capable d'identifier les limites de celui-ci.
Elles ne sont pas nécessaires à la réalisation de notre lettre. Aussi, nous en parlerons au début d'une activité qui leur est spécialement consacrée.
L'expression « être bien disposé » signifie « être bien intentionné ».
Écrire une lettre de motivation part évidemment d'une très bonne intention. Mais, suffit-il d'avoir de bonnes intentions pour que votre lettre soit lue ? Non, il faut aussi que son texte soit bien disposé. Il y a donc certaines règles à respecter.
Objectif :agir sur les attributs de mise en forme des paragraphes (alignement, espacements, interligne, retraits)
Être bien disposéAu XVe siècle, le taquet désignait un morceau de bois servant à tenir une porte fermée. Au XIXe siècle, c'était un coin de bois servant à caler un meuble. Sur les machines à écrire, le taquet est la butée métallique destinée à limiter les mouvements du chariot.
On peut donc dire qu'en général, le taquet sert à bloquer quelque chose. Et dans un programme de traitement de texte ?
Objectif :agir sur les attributs de mise en forme des paragraphes (taquets de tabulation)
Être au(x) taquet(s)La mise en forme des paragraphes contribue de manière importante à la mise en page. La répartition du texte sur le support va dépendre des choix des espacements entre les paragraphes, de leur type d'alignement, de leur interligne, de leurs retraits et de celui de leur première ligne, voire de leurs tabulations.
On évite de faire apparaître une seule ligne d'un paragraphe en bas ou en haut d'une page en réglant le paramètre veuves et orphelines de celui-ci.
Vous pouvez obtenir le corrigé des exercices auprès de votre coach.
Mise en retrait(e) de paragraphes
Les expressions ? J'en connais un rayon !
Les pronostics, c'est « foot »astique !
Les calligrammes sont des poèmes très particuliers… Mais qu'ont-ils donc de si particulier ? Vous l'ignorez ? Vous pouvez le découvrir de la manière suivante. Le document à télécharger ci-dessous contient deux textes se composant chacun d'un seul paragraphe (excepté le nom des auteurs). Modifiez-les en insérant des sauts de ligne devant chaque lettre en majuscule. Puis, faites varier l'alignement des deux paragraphes. Vous aurez vite découvert de quoi il s'agit.
Joëlle Dumonceau est administratrice d’une entreprise de photocopieurs. Elle souhaite envoyer un prospectus à Monsieur Henri. Hier soir, elle a dicté une lettre d'accompagnement à sa secrétaire qui, malheureusement, s'est cassée la jambe en rentrant chez elle. Ce matin, la lettre n'est donc pas prête…
Pourriez-vous devenir la « secrétaire d'un jour » de Joëlle et réaliser la mise en page de cette lettre ?
Avertissement
Le fichier utilisé dans cet exercice est également proposé au chapitre 6.
Par précaution, renommez ce fichier afin d'éviter tout problème d'écrasement.
Voici le règlement d'un jeu à destination des élèves de l'enseignement primaire. Par économie de papier, les institutrices souhaiteraient que ce dernier tienne sur une seule page. Débrouillez-vous pour que ça soit le cas en jouant sur :
Attention ! Interdiction formelle de modifier les espacements après le titre (Défi'nille) et le sous-titre (Les règles du jeu). Pour le reste, aucune consigne si ce n'est d'être attentif(ve) une certaine homogénéité dans la mise en page du document.
Connaissez-vous les différentes façons de mettre en retrait un paragraphe ?
Il est possible de modifier les retraits de paragraphe à partir :
Partez à la découverte de chacune de ces méthodes et exercez-vous à établir les retraits d'au moins trois façons différentes (au choix ). Suivez les consignes décrites dans le document à télécharger.
On utilise des centaines d’expressions sans même savoir d’où elles proviennent. Le fichier à télécharger ci-dessous décrit l'origine de six expressions bien connues. Pour une meilleure lisibilité de ce dernier, retravaillez sa mise en page pour obtenir à peu près ceci :
Voici la liste complète des magasins « Au paradis du jouet ». À partir du document à télécharger, reproduisez une mise en page similaire en définissant des taquets de tabulation.
Pas le temps de rêvasser… Au boulot !
La saga Harry Potter est terminée ! C'est l'heure du générique final.
Réalisez votre propre générique en définissant la position et l'alignement de taquets de tabulation (existants ou à ajouter dans le document à télécharger). Les noms des acteurs et ceux des personnages qu'ils interprètent doivent apparaître (plus ou moins) comme dans l'aperçu ci-dessous.
Albert est un véritable fan du Standard de Liège. Il a pronostiqué les résultats de son équipe pour l’entièreté de la saison 2011-2012.
Si on peut reconnaître à Albert sa nature très optimiste, il n'est malheureusement pas très doué pour mettre en page ses pronostics…
Aidez-vous des taquets de tabulation pour améliorer la lisibilité de ce document. Observez le modèle ci-dessous et reproduisez-le le plus fidèlement possible.
Intention généralecomprendre l'utilité des styles, pouvoir en modifier la définition et en définir de nouveaux
Définir la forme d'un texte, c'est d'abord définir la sémantique de ses différentes parties avant de s'intéresser à leur présentation.
Cette vidéo devrait vous en dire plus.
Si les systèmes ne traitent que la forme, les humains ne travaillent sur le sens même s'il s'agit… de la mise en forme. Qu'est-ce que cela signifie ?
Ce qui est fondamental, dans un premier temps, n'est pas la forme que vous allez donner à divers blocs de texte mais la sémantique, c'est-à-dire le statut que vous leur attribuerez.
Savoir qu'un bloc de texte constituera, par exemple, un titre de deuxième niveau est plus important, dans un premier temps, que de déterminer la taille de ses caractères ou leur couleur.
Vous devrez donc vous appliquer à réaliser un balisage correct du texte en vous servant des styles portant différents noms. Une fois la sémantique des blocs bien définie, la définition des paramètres correspondants à chaque style sera un jeu d'enfant.
Pour réaliser le balisage, vous pourrez vous appuyer sur de nombreux styles prédéfinis qui correspondent aux principales fonctionnalités de mise en forme d'un texte : niveau de titre, corps de texte, puces et numérotation automatique… Si nécessaire, vous créerez de nouveaux styles en fonction de vos besoins.
Ce chapitre est destiné à vous faire percevoir la nécessité d'identifier la sémantique des blocs d'un document en vous servant des noms de styles prédéfinis ou en en créant des nouveaux auxquels vous attribuerez des noms significatifs comme « important », « exemple », « énumération ». Par la suite, il vous sera toujours possible de redéfinir ces styles afin d'obtenir une mise en forme optimale.
Nous savons que la mise en forme habille le texte. Voici donc un texte nu.
Habillons-le simplement. Pour cela, attribuons du sens à certains blocs de texte, en l'occurrence, les paragraphes que constituent les titres et sous-titres.
Mettons-y un peu de classe.
Ces exemples renferment tout ce qui peut nous motiver à fonctionner de manière efficace lors de la mise en forme d'un texte.
Voyons cela.
Le traitement d'un texte consiste en un traitement du contenu (fond) et un traitement de la forme (mise en forme et en page).
Peut-être faites-vous partie de ceux qui accomplissent la mise en forme et en page d'un texte en même temps que son encodage. Vous auriez tort de vous en priver, vu la facilité avec laquelle il est possible d'attribuer du gras ou de l'italique à un mot ou à une phrase, d'effectuer des changements de police et de taille des caractères…
Si une mise en forme « à la volée » ne pose pas de problème pour des applications simples, cela se complique si on souhaite une présentation homogène sur un document un peu volumineux ou entre plusieurs documents. Et pour cause, l'attention accordée à la mise en forme empêche inévitablement de se concentrer sur le contenu.
Mais d'autre part, l'absence totale de mise en forme diminue la lisibilité du texte pour son créateur car elle ne fait apparaître aucune structuration, aucun niveau de lecture.
Alors quelle attitude adopter ?
Vous savez que les systèmes ne traitent que la forme, alors que les humains travaillent rarement sans attribuer du sens à ce qu'ils font, même lorsqu'il s'agit de… la mise en forme d'un texte. Ce qui est fondamental, dans un premier temps, n'est donc pas la forme que l'on va donner à divers blocs de texte, mais la sémantique que l'on va leur attribuer, le statut que nous leur donnons dans le texte : un titre de premier niveau ou de deuxième niveau, un élément d'une liste énumérative, l'énoncé d'un exercice… C'est ce que vous faites lorsque vous sélectionnez un bloc avant de lui appliquer un style. Par cette opération de balisage, vous précisez au système le statut que vous attribuez à ce bloc et cela, même si vous pensez déjà à sa mise en forme.
Mais qu'entend-on exactement par « balisage » ?
De nombreux langages informatiques, et notamment ceux qui sont utilisés sur le Web, sont des langages de balisage destinés à indiquer aux navigateurs Web la nature des contenus qu'ils reçoivent et doivent mettre en page.
Savoir d'abord que tel bloc de texte constituera un titre de deuxième niveau est plus important que de déterminer la taille de ses caractères ou leur couleur, une démarche qui peut être effectuée par la suite. Avec les styles, les programmes de traitement de texte procèdent de manière assez semblable. Leur rôle principal est d'attribuer au bloc un « style » de mise en forme dont la définition peut parfois être utilisée à d'autres fins (par exemple, la création d'une table des matières pour ce qui est des styles de titre).
Un style est donc un ensemble de paramètres de mise en forme. Les chapitres 3 et 4 vous ont montré le rôle important joué par les caractères et les paragraphes. Vous ne serez donc pas étonné d'apprendre que l'on distingue les styles de caractères des styles de paragraphes.
Lorsqu'un logiciel met en forme un document, il tient compte des blocs de textes que VOUS avez balisés pour définir ainsi des niveaux sémantiques dans le contenu. Le logiciel associe aux styles que vous avez choisis des paramètres de mise en forme qui sont, dans un premier temps, des paramètres par défaut. Par exemple, pour le titre de niveau 1 de la deuxième illustration (page précédente), ces paramètres sont : police Calibri Gras 16 pt. La couleur est définie par ses trois composantes (cf. le module sur le traitement des images) rouge : 79, vert : 129, bleu : 189.
Par la suite, vous pourrez décider de modifier la définition de ces styles pour donner au texte un autre look. Le système l'adaptera automatiquement. Notez encore que vous pouvez, si vous avez les idées claires à ce propos, modifier ces paramètres avant de rédiger votre texte.
De nombreux styles prédéfinis existent. Ils correspondent aux niveaux sémantiques courants dans la mise en forme d'un texte : normal, titre, titre1, titre2, corps de texte, énumération… Leurs noms peuvent varier, mais tous correspondent à un ensemble de paramètres qui seront appliqués aux entités sélectionnées.
Vous pouvez (c'est même très souhaitable) utiliser ces styles prédéfinis pour baliser vos textes au fur et à mesure de leur écriture. La véritable forme, vous pourrez la déterminer par la suite en adaptant la définition de ces styles aux paramètres qui vous conviennent.
Le style normal est le style de base, donc le style par défaut de tous les textes que vous écrirez. En d'autres termes, tous les paragraphes ont un style, même si vous ne l'avez pas précisé. Beaucoup d'autres styles sont basés sur la définition de celui-là avec quelques paramètres modifiés.
Certains programmes de traitement de texte génèrent automatiquement de nouveaux styles dans la liste des styles, auxquels ils attribuent des noms très liés aux modifications de mise en forme effectuées par l'utilisateur comme « gras+italique » ou « normal+10pt ».
Les styles vont permettre aux plus impatients d'entre vous de structurer un texte en cours de frappe sans avoir à (trop) se préoccuper de la mise en forme. Si en plus votre logiciel fait (quasi) tout le boulot lui-même, pourquoi s'en priver ?
Objectif :appliquer et modifier un style prédéfini
Faire (et défaire) ses balisesCe n'est plus un secret pour personne, les logiciels de traitement de texte proposent des styles prêts à l'emploi. Ces styles, à la portée de tous, sont une solution de facilité mais l'idéal reste quand même de créer sa propre collection de styles…
Objectif :créer ses propres styles
Styliste, un métier de caractère(s)Dans la langue française, les termes « table des matières » et « sommaire » donnent lieu à des confusions. Logiquement, une table des matières est plus complète qu'un sommaire. Toutefois, les logiciels de traitement de texte ne font aucune distinction entre les deux. Et à raison ! C'est vous qui décidez des informations qu'ils vont contenir. Alors un peu, beaucoup, à la folie…
Objectif :créer et gérer une table des matières
Table des FablesDans un texte, toutes les informations n'ont pas le même statut: titre, sous-titre, item d'une liste, passage important... La mise en forme est un moyen de mettre en évidence la sémantique de certains blocs de texte.
Les blocs de textes sont soit quelconques, soit des paragraphes. On distingue donc au moins les styles de caractères et les styles de paragraphes.
La nécessité de sélectionner est liée au type de style.
La sélection est obligatoire pour un style de caractères.
Pour un style de paragraphe, elle n'est nécessaire que si elle concerne plusieurs paragraphes. Un style de paragraphe s'applique à la totalité du paragraphe
Les styles prédéfinis correspondent aux sémantiques les plus courantes. De ce fait, ils suffisent à baliser un texte, mais demandent souvent qu'on les redéfinisse pour ses propres besoins de mise en forme.
La définition d'un nouveau style s'appuie sur la définition d'un style existant.
Un style appelé « style normal » définit les caractéristiques de style des paragraphes qui n'ont pas de sémantique particulière. Ce style est également modifiable.
Il existe un lien important entre styles et table des matières. En effet, le contenu de cette dernière ne peut être généré automatiquement par le système que si le document est balisé par des styles identifiant ce contenu. Ces styles portent généralement des noms qui évoquent des titres (titre 1, titre1, heading1…).
L'affichage de la table des matières nécessite l'usage d'autres styles (un style par niveau hiérarchique). Ces styles sont définis par défaut et peuvent être modifiés comme n'importe quel autre style.
Vous pouvez obtenir le corrigé des exercices auprès de votre coach.
Dans le document suivant, combien y a-t-il de style(s) de paragraphe et de style(s) de caractères ? Listez le nom des styles que vous repérez.
Avertissement
Conservez le fichier obtenu après cet exercice. Celui-ci sera réutilisé dans l'exercice suivant.
Par précaution, renommez ce fichier afin d'éviter tout problème d'écrasement lorsque vous recommencerez les exercices.
Chaque fin d’année scolaire, Philippe organise un grand barbecue dans son jardin. Pour animer la soirée, il a prévu un karaoké. Ambiance garantie !
Pour cette occasion, Philippe entreprend de créer un livret de chansons. Il aimerait y ajouter, en première page, la liste des titres (classés par catégorie) et les numéros de page. Pouvez-vous l’aider ?
Vous rencontrez des difficultés à générer la table des chansons ?
Comprenez-vous pourquoi ?
Certains titres n'apparaissent pas dans la table… Et pour cause, tous les titres présents dans le document n'ont pas été balisés.
Seul le balisage au moyen de styles vous permet de générer automatiquement une table des matières.
Si oui, faites en sorte de générer une table des chansons complète avant que les invités n'arrivent.
Avertissement
Utilisez ici le fichier obtenu dans l'exercice précédent.
Conservez le fichier obtenu après cet exercice. Celui-ci sera réutilisé dans l'exercice suivant.
Par précaution, renommez ce fichier afin d'éviter tout problème d'écrasement lorsque vous recommencerez les exercices.
Philippe est quelqu'un de très pointilleux. Il n’est pas entièrement satisfait de l'apparence de la table des chansons que vous avez réalisée. Ça manque de cohérence selon lui (polices, couleurs). Il n'a pas tout-à-fait tort…
Modifiez les styles composant votre table de manière à ce qu’elle soit plus en accord avec le reste du livret.
Avertissement
Utilisez ici le fichier obtenu dans l'exercice précédent.
Si vous n'en disposez plus ou si vous n'êtes pas satisfait(e) de votre travail, vous pouvez aussi télécharger le fichier en bas de la page. Les styles de la table des matières sont les styles par défaut. Vous pouvez en changer si vous le souhaitez.
Conservez le fichier obtenu après cet exercice. Celui-ci sera réutilisé dans l'exercice suivant.
Par précaution, renommez ce fichier afin d'éviter tout problème d'écrasement lorsque vous recommencerez les exercices.
Le savez-vous ? Il est possible de choisir les entrées d'une table des matières.
À partir de la table des chansons que vous avez créée, faites en sorte de n'afficher que les titres des chansons (et non les titres précisant la décennie correspondante).
Avertissement
Utilisez ici le fichier obtenu dans l'exercice précédent.
Par précaution, renommez ce fichier afin d'éviter tout problème d'écrasement lorsque vous recommencerez les exercices.
En dernière minute, Philippe souhaite supprimer de son livret quelques chansons qu'il ne trouve pas assez entraînantes :
Mettez à jour le document selon sa volonté.
La suppression de ces éléments aura-t-elle un impact sur la table des chansons ?
Le diner est LA chanson made in Bénabar par excellence. Il y décrit avec humour la mauvaise foi d'un homme qui ne veut surtout pas se rendre à un diner. Une situation de tous les jours…
Modifiez les styles constituant cette chanson en respectant les consignes décrites ci-dessous.
Voici un aperçu de ce que vous devriez à peu près obtenir :
Avertissement
Utilisez ici le fichier obtenu dans l'exercice Bon appétit ! du chapitre 2.
Si vous n'en disposez plus ou si vous n'êtes pas satisfait(e) de votre travail, vous pouvez aussi télécharger le fichier en bas de la page.
Conservez le fichier obtenu après cet exercice. Celui-ci sera réutilisé dans un exercice qui suivra.
Par précaution, renommez ce fichier afin d'éviter tout problème d'écrasement lorsque vous recommencerez les exercices.
Reprenez le menu du restaurant « Karibou ». Pour améliorer la mise en page et distinguer plus clairement les différentes informations, créez les styles suivants :
Toute autre information présente dans la carte doit être dans le style Normal : Calibri, 10 pt, espacement après paragraphe de 6 pt.
Voici un aperçu de ce que vous devriez obtenir :
Téléchargez le fichier ci-dessous si vous n'avez pas gardé la version précédente.
Utilisez un saut de page si, en appliquant les styles, vous constatez qu’un titre de catégorie se trouve seul en bas d’une page.
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Avis aux geeks débutants !
Intention généraleidentifier tous les éléments intervenant dans la mise en page et en modifier les caractéristiques
La page est un élément essentiel de tout document destiné à être imprimé.
Avant d'aller plus loin, visionnez la vidéo ci-dessous.
La mise en forme n'est pas le seul élément qui agit sur la présentation. Comme la page est un élément essentiel de tout document imprimé, diverses fonctionnalités y sont liées : elles concernent la gestion de l'espace imprimable.
La gestion de cet espace concerne, en premier lieu, les dimension et la disposition de la page et, bien entendu, les marges.
Certains espaces particuliers sont parfois exploités, comme les entêtes et le pied de page.
D'autres éléments peuvent restreindre l'espace disponible pour le contenu essentiel comme, par exemple, les notes de bas de page. Il en est de même des images et des cadres.
La façon dont un texte doit habiller une image ou un cadre doit évidemment être précisée.
La mise en page concerne aussi l'usage des tableaux.
Toutes ces notions seront abordées dans ce chapitre.
Voici une page extraite d'un syllabus de cours dont la mise en page est complètement réalisée.
Dans les éléments de mise en page dont nous avons déjà parlé, quels sont ceux que vous pouvez deviner ?
On peut certainement citer :
Dans un premier temps, nous avons parlé de mise en forme des caractères et des paragraphes. Bien entendu, nous n'avons pas exploré tous les attributs des caractères et des paragraphes sur lesquels il est possible d'agir. Nous avons examiné les plus courants.
Rien ne vous empêche de continuer à explorer vous-même les diverses possibilités, à travers les éléments des boites de dialogue du logiciel.
Mais observez à nouveau la page et répondez à la question qui suit.
Quels sont les éléments de mise en page qui apparaissent et dont nous n'avons pas encore parlé ?
Les éléments dont il est question concernent la page :
Les activités qui suivent vont nous permettre de découvrir ces nouveaux concepts.
Après le caractère et le paragraphe, la page est un autre élément important dans la conception de la forme d'un document. Elle fait référence au support auquel le texte est destiné.
La page a donc des dimensions (un format) que le système doit connaître.
Quel est, dans nos pays, le format de papier le plus communément utilisé ?
Il s'agit du format A4 (29,7 x 21 cm).
Une diminution du numéro va de pair avec un doublement de la surface. Un A3 égale deux A4, un A2 égale deux A3 et ainsi de suite. Le format A0 correspond à une surface très proche du mètre carré.
Il y a naturellement deux orientations possibles de la feuille de papier avant l'impression.
Lorsque la hauteur est supérieure à la largeur, on parle d'impression en portait car c'est pratiquement toujours dans cette orientation de la toile qu'ils sont peints. Cette orientation est encore appelée « à la française ».
Lorsque la hauteur est inférieure à la largeur, on parle d'impression en paysage pour des raisons identiques. Dans ce cas, cette orientation est aussi appelée « à l'italienne ». Mais ne comptez pas sur nous pour vous expliquer l'origine de ces deux autres appellations.
Il y a la surface du support (le plus souvent, le papier) et la surface imprimable, comme le montrent les deux images précédentes.
La surface imprimable est déterminée par les marges.
Elles sont au nombre de quatre : marge de gauche, de droite, supérieure et inférieure. On exprime leurs mesures en centimètres.
La zone imprimable est celle qui va accueillir le texte, mais une fois de plus, d'autres éléments peuvent réduire encore l'espace disponible pour le corps du texte.
Dans des documents comptant plusieurs pages, l'entête et le pied de page permettent de rappeler certaines informations dont la moins utile n'est certes pas le numéro de page. Ce sont des zones de texte indépendantes dont le positionnement est toutefois déterminé par la valeur des marges.
Si vous rédigez un ouvrage dont les pages de gauche et de droite sont imprimées, il est possible de disposer d'un entête différent sur les pages paires et sur les pages impaires.
Devinez-vous au moins une raison pour laquelle cette opportunité est offerte ?
Cela permet, par exemple, de pouvoir situer toujours le numéro de page à l'extérieur (à gauche sur la page de gauche et à droite sur la page de droite).
Les entêtes et pieds de page sont évidemment reproduits sur chacune des pages. Toutefois, il est possible que l'on souhaite changer le contenu de l'un ou l'autre ou même des deux.
À nouveau, voyez-vous une situation dans laquelle ce souhait peut se présenter ?
Dans un ouvrage qui compte plusieurs chapitres, vous pourriez avoir envie de reprendre le titre du chapitre dans l'entête, par exemple.
Mais comment faire pour y arriver ? Le concept qui peut nous y aider est différent selon les logiciels. Il s'agit soit de la section, soit du style de page.
La section n'est rien d'autre qu'une partie continue de texte. Un texte normal ne contient qu'une seule section, mais vous pouvez en créer une nouvelle à n'importe quel endroit du texte en fonction des nécessités.
L'existence des sections permet de limiter certaines options prises pour l'ensemble du document à une de ses parties. Ainsi, chaque section peut avoir ses propres marges, sa propre disposition de papier, ses entêtes et pieds de page spécifiques. Les sections sont également exploitées si on veut travailler en colonnes dans une partie du document. Cette partie doit être une section. Dans ce cas précis, la création de la section pourra avoir lieu au beau milieu d'une page. Mais observez plutôt l'illustration suivante.
La deuxième section a été créée pour les besoins d'un changement d'orientation de papier et la troisième pour les mêmes raisons. Quant à la section 4, elle permet de travailler momentanément le texte en colonnes. La section 5 marque le retour à la normale.
Certains logiciels n'associent pas les entêtes et pieds de page, ni les orientations, les marges et d'autres paramètres à des sections, mais à des styles de pages. Ceux-ci s'ajoutent donc aux styles de paragraphes et de caractères.
Pour changer les paramètres d'une page par rapport aux paramètres de celles qui précèdent, il suffit de lui attribuer un autre style avec d'autres paramètres (par exemple, une orientation différente). Chaque fois qu'une page doit avoir un style différent de celles qui existent déjà, il suffit de définir un nouveau style et de le lui attribuer.
Attention, modifier un style existant équivaut à modifier les caractéristiques de toutes les pages auxquelles ce style est associé.
Notez encore que sans précision de votre part, chaque page se voit attribuer le style "Par défaut" et la première page, le style "Première page".
On le voit, la démarche concernant les mises en page sera relativement différente d'un logiciel à l'autre.
Et ce n'est pas fini ! Dans sa gestion de l'espace imprimable, le système peut encore ajouter une zone particulière. Cette zone est cette fois spécifique à chaque page. Il s'agit des notes de bas de page.
Les notes de bas de page sont utilisées pour « dégraisser » le texte principal ou, en tout cas, éviter de l'allonger inutilement. Une référence est faite dans le texte, presque toujours sous la forme d'un numéro.
La note numérotée correspondante se trouve en bas de page.
La manière dont ces notes sont mises en forme est également gérée par des styles prédéfinis dont vous pouvez modifier les paramètres s'ils ne vous conviennent pas.
Le système doit gérer cet espace au mieux. Par exemple, s'il n'a plus la place pour insérer la dernière note, il doit raccourcir le texte pour reporter sa référence dans le texte à la page suivante. Ce serait le cas (cf. illustration) si une quatrième référence était mise sur l'expression analyse quantitative qui termine le texte. Il n'y aurait plus de place pour insérer la note. Dès lors, la dernière phrase serait reportée à la page suivante.
Voila déjà pas mal d'éléments susceptibles de restreindre les zones de la page réservées aux textes proprement dits. Mais il en existe encore d'autres. Nous allons rapidement évoquer les principaux que sont l'image, le tableau et, avec un statut plus particulier, la zone de texte.
Un document de plusieurs pages contient très souvent des images (photos, graphiques, schémas…). Dans le module sur le traitement de l'image, vous apprendrez tout ce qu'il faut savoir pour préparer correctement une image avant de l'intégrer dans un texte.
La manière dont on souhaite que le texte se répartisse autour, sur ou derrière l'image, s'appelle l'habillage. Privilégiez les images sans habillage lorsque leur taille dépasse la moitié de la largeur entre les marges comme c'est le cas pour l'image ci-dessous.
Choisissez un habillage à gauche, à droite (comme l'image ci-contre), en carré ou au plus proche pour les autres. Tenez également compte de la taille des espaces entre les mots qui augmente sensiblement avec la diminution de la largeur du texte.
Une image peut aussi avoir différents statuts (illustration, figure…) qu'on peut mettre en légende. Cela permet aux systèmes de gérer leur numérotation et d'en faire une table, au besoin.
Les légendes ont également un style par défaut qu'il est possible de modifier.
Autre élément qui se distingue du texte normal : le tableau dont les cellules peuvent évidemment contenir du texte. Tout comme les caractères et les paragraphes, les cellules d'un tableau peuvent également être formatées (bordures, remplissage, alignements vertical et horizontal, orientation du texte…).
Par défaut, un tableau monopolise tout l'espace entre les marges, mais on peut préciser une largeur inférieure à cette distance. Dans ce cas, on peut le centrer ou le disposer à gauche, à droite ou à une autre position à préciser. Des formats prédéfinis existent également. En voici une illustration. Le tableau est construit sur base d'un format prédéfini amélioré.
Il est possible d'habiller un tableau avec du texte, mais c'est peu souhaitable, sauf si le tableau est très étroit.
Les zones de texte sont, en quelque sorte, des textes dans le texte. Ce sont des zones indépendantes, comme des fenêtres qui s'ouvrent sur d'autres textes. Elles peuvent se superposer, ce qui n'est pas souvent souhaitable. En revanche, le texte normal habille une zone de texte en la contournant. On peut donc utiliser une zone de texte pour y placer les éléments habituels d'un texte. Mais il faut veiller à donner à la zone une taille suffisante (en hauteur, notamment) pour que toute l'information soit visible.
Il est même possible de détourner l'usage des zones de texte, comme dans l'illustration ci-contre, pour réaliser une mise en page de type journal ou magazine. Mais rappelez-vous que, même si un logiciel de traitement de texte permet de réaliser la mise en page d'un document, ce n'est pas un logiciel de mise en page, à proprement parler.
Une image vaut parfois bien mieux qu'un long discours. Et si le long discours est quand même nécessaire, insérer une image permettra d'aérer le texte. Encore faut-il habiller correctement cette image…
Les initiés comprendront qu'on ne parle pas ici de mode !
Objectif :agir sur les attributs de mise en page (note de bas de page, numéros de page, illustration, légende, tables)
Mettre une photo sur son 31Le tableau est utile parce qu'il permet d'organiser les informations d'une manière claire, surtout lorsqu'il s'agit d'établir des relations entre celles-ci.
Objectif :formater un tableau, ses lignes, colonnes, cellules
Vous avez vu le tableau ?Encore quelques concepts à découvrir et vous aurez acquis l'essentiel de ce qui est possible avec un logiciel de traitement de texte.
La maîtrise des outils de bureautique est devenue incontournable pour beaucoup de métiers et indispensable pour les études supérieures.
Mais ne nous faites pas dire ce qu'on n'a pas dit… Maîtriser un logiciel de traitement de texte n'est pas suffisant pour réussir ses études. Alors que faire ?
Objectif :agir sur les attributs de mise en page (marges, entête, pied de page, tables, tableau, saut, illustration)
Traitement (de texte) totalLa mise en page gère l'espace imprimable de la page et la disposition des textes et autres éléments (images, tableaux...) présents sur celle-ci. Elle tient notamment compte de ses dimensions et d'autres paramètres tels la valeur des marges, les retraits, etc. pour déterminer les sauts de ligne et de page automatiques. Elle gère également certaines zones particulières telles les zones d'entête et de pied de page ainsi que la disposition des notes de bas de page.
La page correspond à l'unité d'impression.
Préciser le nom du format d'une page équivaut à préciser ses dimensions, largeur et longueur (ex : format A4 21cm X 27,9cm).
L'orientation d'une page détermine si l'impression se fait sur la largeur (impression en portrait ou à la française) ou sur la longueur (impression en paysage ou à l'italienne).
Les marges limitent la surface imprimable du support. Elles sont au nombre de quatre qualifiées de : gauche, droite, haut et bas. Pour les documents qui doivent être reliés ou brochés, il est possible de définir une marge de reliure. Celle-ci s'ajoute à la marge de gauche ou de droite selon qu'il s'agit d'une page paire ou impaire.
La zone d'entête s'ajoute à la marge du haut et restreint la zone disponible pour le corps de texte. La zone de pied de page s'ajoute à la marge du bas avec les mêmes conséquences.
Les zones d'entête et de pied de page peuvent être différentes pour les pages paires et impaires, ce qui est utile lorsque les pages sont en vis-à-vis. La première page d'un document peut les ignorer.
Les notes de bas de page correspondent à des références numérotées faites dans la page. Comme les entêtes et pieds de page, elles réduisent la zone disponible pour le corps de texte.
La section est une partie du document dont les caractéristiques de mise en page sont identiques : marges, orientation de la page, entête, pied de page...
Tout changement d'un de ces paramètres en cours de document implique un saut de section.
L'habillage d'une image ou, plus largement, d'une zone de texte précise la manière dont le texte et l'image vont coexister: le texte épouse la forme de l'image, l'encadre de manière rectiligne, s'y superpose...
Le tableau est une structure d'accueil pour des bribes de texte. Il est organisé en lignes et colonnes. Un tableau monopolise l'espace entre les marges à moins qu'il ne soit inclus dans une zone de texte.
Vous pouvez obtenir le corrigé des exercices auprès de votre coach.
Revoici le règlement d'un jeu à destination des élèves de l'enseignement primaire.
De nouveau, faites en sorte qu'il tienne sur une seule page en jouant sur :
Attention, veillez à ce que les marges en haut et en bas soient toutes deux de la même grandeur.Veillez également à ce que la marge de gauche soit légèrement plus grande (reliure) que celle de droite.
Le barbecue de fin d’année de Philippe a failli tourner à la catastrophe. En effet, ce maladroit s’est brûlé.
Au final, plus de peur que de mal : sa brûlure n’est que superficielle. Cependant, Philippe s’est rendu compte que ni lui, ni ses amis ne savaient comment réagir face à ce type d’accident. Il décide d'y remédier en créant un document informatif sur les brûlures.
Aidez-le à organiser ce document :
Voici l’horaire des cours de Philippe :
Pour mieux se représenter l’emploi du temps de son fils, Albert aimerait disposer de ces informations dans un tableau. Pouvez-vous l’aider ?
Voici, en aperçu, ce que vous devriez (à peu près) obtenir :
À la demande de son professeur d'informatique, Philippe tient un carnet de bord (électronique) qui reprend, pour chaque cours, ses apprentissages du jour.
Philippe débute dans l'utilisation des logiciels de traitement de texte. Il souhaiterait insérer des en-têtes et pieds-de-page, mais il ne sait pas comment s’y prendre. Pouvez-vous l’aider ?
Voici les informations à insérer sur la page de garde :
Chaque information constituant le pied-de-page doit être séparée par une tabulation.
Voici les informations à faire figurer sur la première page du carnet :
Attention, la page de garde ne doit pas être numérotée et la première page du récit doit bien porter le numéro 1 (et non le numéro 2).
Voici ce que vous devriez obtenir :
Philippe souhaite quitter rapidement le cocon familial et voler de ses propres ailes. Dés lors, il entreprend de s'acheter un appartement.
Après maintes recherches, son attention est retenue par une offre pour un appartement très luxueux, voire beaucoup trop luxueux selon Albert, le papa de Philippe. Qu'importe, Philippe s'obstine et demande des renseignements à l'agence.
Téléchargez, dans le format de votre choix, le document envoyé par l'agence et apportez lui quelques modifications.
Utilisez des sauts de section !
Avertissement
Utilisez ici le fichier obtenu dans l'exercice Un resto stylé du chapitre 5.
Si vous n'en disposez plus ou si vous n'êtes pas satisfait(e) de votre travail, vous pouvez aussi télécharger le fichier ci-dessous.
Reprenez le menu du restaurant « Karibou » et repérez-y les informations balisées en style « Normal ». Placez celles-ci en notes de bas de page.
Attention, le numéro de la note de bas de page doit être placé à côté du titre de la catégorie concernée, comme illustré ci-dessous.
Modifiez le style prédéfini « Note de bas de page » : Calibri, 10pt, italique.
Au total, il y a 7 notes de bas de page à insérer.
Envie de se créer un CV en quelques clics seulement ? Ce site vous propose plus de 100 modèles de CV et lettres de motivation gratuitement. De quoi vous inspirer...
Dans le même ordre d'idée, vous trouverez ici et là des conseils pour créer un CV, rédiger une lettre de motivation, préparer un entretien d'embauche ou encore survivre aux tests de sélection. À consommer sans modération !
Il n'existe pas de corrigé pour ces exercices.
Dans le but de diffuser au maximum l'information concernant le projet visaTICE au sein de l'école, votre coach vous a chargé de créer une affiche au format A4.
Cette dernière doit impérativement respecter les paramètres de mise en forme et en page décrites ci-après.
Téléchargez également le dossier avec les images à insérer.
D'après vous, l'entretien est-il plus important que le CV pour décrocher un emploi ? Si vous répondez oui, sachez que vous avez tort. En effet, le CV est le premier « passe droit » pour l'entretien. Il vous représente. Il est donc très important de soigner sa présentation et son contenu.
Voici deux modèles de CV avec des mises en page légèrement différentes. À partir d'une feuille totalement vierge, inspirez-vous de ces exemples pour réaliser votre propre CV. Faites preuve d'autonomie, d'efficacité et de créativité.
Bon travail !
Les exemples présentés ici sont issus du chapitre « Les styles »
BARZILAI, Igor. « Mise en page avec OpenOffice.org Writer ». Collection Accès libre, octobre 2007.
Cet exercice est inspiré de l'évaluation pratique de la certification 2010-2011.
Voici un exercice qui fait intervenir une bonne partie des notions abordées dans ce module.
Vous avez pour mission d'apporter des modifications au document à télécharger. Le travail va se faire en deux phases :
Téléchargez également le dossier avec les images à insérer.
L'épreuve de certification comprendra des activités et des exercices semblables à ceux du chapitre. Si vous pouvez les refaire, vous êtes paré(e).
La certification comprendra aussi une partie réflexion sous forme d'un QCM. Le test que vous pouvez télécharger ci-dessous vous permet de vous en faire une idée précise.
Pour la correction des exercices et du test, adressez-vous à votre coach.